Nous utilisons des cookies dans le cadre de Google Analytics à des fins de statistiques.Si vous souhaitez poursuivre, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation de ces cookies.
Nous utilisons des cookies dans le cadre de Google Analytics à des fins de statistiques.
Thomas Merton
Editions de l’orante 1954
Les psaumes sont le pain miraculeusement préparé par le Christ pour nourrir ceux qui l’ont suivi au désert.
La liturgie, source de contemplation.
Thomas Merton
Editions de l’orante 1954
Les psaumes sont le pain miraculeusement préparé par le Christ pour nourrir ceux qui l’ont suivi au désert.
La liturgie, source de contemplation.
Thomas Merton
Editions de l’orante 1954
Les psaumes sont le pain miraculeusement préparé par le Christ pour nourrir ceux qui l’ont suivi au désert.
La différents sens de l'Ecriture
Thomas Merton
Editions de l’orante 1954
Les psaumes sont le pain miraculeusement préparé par le Christ pour nourrir ceux qui l’ont suivi au désert.
La prière liturgique nous rappelle que nous avons déjà commencé à être transformés.
Thomas Merton
Editions de l’orante 1954
“Il ne s’agit donc pas uniquement d’une récitation ou d’un chant qui, malgré la perfection due à sa conformité aux règles de l’art musical et des rites sacrés, ne toucherait que les oreilles ; ce dont il s’agit, c’est avant tout l’élévation de nos esprits et de nos âmes vers Dieu afin de lui consacrer pleinement, en union avec Jésus-Christ, nos personnes et toutes nos actions. (Encyclique Mediator Dei. 1947, Pie XII)
Thomas Merton
Editions de l’orante 1954
P.66 Les grâces de l’Office nourrissent et stimulent (la) contemplation solitaire.
Le secret de la contemplation est dans le don que nous faisons de nous-mêmes à
Dieu.
Et ce secret est en même temps celui du psautier. Dieu se donnera à nous à travers le
psautier, si nous-mêmes nous donnons à Lui sans réserve dans la récitation des
psaumes.
Ce qui suppose une foi pure, un intense désir d’amour et,par dessus tout, une
ferme espérance de trouver Dieu caché dans sa parole révélée.
Cela revient à dire que le chant de l’Office divin n’a de valeur que sil entraîne un
constant et parfait exercice des vertus théologales, seul chemin menant à la prière
contemplative.
Lire►